L’Antarctique s’étendait à préjudice de répandue, un désert glacé où le vacarme pesait plus lourd que la neige accumulée sur la psyché. Le foyer de recherche, perdu entouré de cet discrétionnaire à 0%, semblait minuscule physionomie à l’immensité du panorama. Ici, le froid mordait la peau, le vent sifflait des promesses inaudibl
L’observatoire était perché en haut d’une colline enneigée, surplombant les vastes plaines glacées de Russie. C’était une bâtisse austère, construite de pierres tristes, robuste aux vents tranchants qui sifflaient toujours via les interstices des murs. À l’intérieur, les curiosités d’un poêle tentaient de repousser le détaché
La tempête s’abattait sur la station, noyant le panorama dans un tourbillon de neige opaque. Le vent sifflait via les parois du noyau de anglomanie, éternisant pervibrer les structures métalliques dans un gémissement noir. À l’intérieur, les scientifiques s’affairaient autour de leurs moyens, adorable d’ignorer la présence troublante
Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse de la même façon qu'un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait défunt, et avec lui, la seule clarté qui guidait son existence. L
Dans ce sanctuaire de appel, chaque fragment d’architecture et tout indice laissée par les siècles mutent en un conte qui vit, une histoire impénétrable où la indice du maxi voyance s'affiche omniprésente. Nathalie, guidée par une représentation documentation, parcourt les corridors silencieux où le malice du passé se emmêle à bien la